Grosse remise en question ces derniers temps.
J'espère que ça aboutira à quelque chose.
Je me suis (enfin) faite larguer. Après tant d'années à se déchirer et s'aimer, il était temps que ça s'arrête.
Au moins pour pouvoir s'interroger sur nos caractères respectifs.
Il est clair qu'il y a un gros travail à faire. Je ne supporte pas qu'on me dise quoi faire et c'est exactement ce qu'il faisait en soirée. Sans doute pour montrer à nos amis qui portait la culotte dans notre couple. Du coup, on s'engueulait presque systématiquement devant eux. Lui parce qu'il m'emmerdait à me contredire sans arrêt, moi parce que je n'avais pas envie de me laisser marcher dessus. Et ça m'agaçait de plus en plus à chaque fois. J'avais fini par me dire qu'en fermant simplement ma gueule quand ça arriverait, ça règlerait le problème. Sauf que ça l'énervait encore plus que je ne réponde pas à ses provocations et que je change de conversation. Du coup, quoi faire ? Se remettre en question. Ca fait quelque temps que je réfléchis pas mal dans mon coin, que je fais de l'introspection pour trouver une solution à tout ça. Sauf que quand on fait un travail de couple tout seul, il y a peu de chances que ça fonctionne. Jamais de la vie il n'allait remettre en cause son caractère ou sa façon de se comporter, c'était forcément moi le problème.
Du coup, il a fini par me larguer parce que "je le soûlais".
Ce qu'il n'a pas l'air de comprendre, c'est qu'il m'a larguée parce qu'ON SE soûlait. J'ai soit disant des avis trop tranchés.
Des avis en fait.
Visiblement, il ne faut pas dire "j'ai trouvé ça nul" mais "ça n'est pas à mon goût". Je n'étais pas au courant que j'étais critique dans un grand journal et qu'il fallait que je ménage mes propos quand j'émettais un avis. Et ce n'est pas même pas par rapport à l'opinion d'un ami ou d'un truc vraiment important. Pour le coup, le soir de la rupture, c'était au sujet d'une pièce de théâtre où je trouvais le temps particulièrement long parce que la moitié de la troupe d'acteurs jouaient comme des pieds.
Bon bref, pas la peine d'épiloguer 107 ans là dessus, ça n'était pas le but de mon article.
Le but, c'était justement de pouvoir coucher sur le "papier" mon ressenti et m'autoriser une nouvelle introspection.
Une "amie" a rompu avec moi ce soir. Ca doit bien faire 4 ans que je ne la vois plus vraiment parce qu'à chaque fois qu'on les invitait, elle et son copain, ils trouvaient toujours une excuse pour ne pas venir. Et qu'à chaque fois qu'on était invité chez eux, j'y allais à reculons parce que j'étais quasiment sûre qu'on allait se faire chier, que l'ambiance allait être plus qu'étrange et que leur baraque me fout les boules. Ce genre de maison énorme où vivent deux gros bordéliques. Le ménage est rarement fait, tu découvres toujours des trucs chelous cachés sous les meubles et l'air imprégné de l'odeur du chien mouillé est difficilement respirable. Enfin bon, cette fameuse "amie", je l'ai toujours trouvée bizarre. J'étais contente quand on était toutes les deux et qu'on discutait, mais dès qu'on était en communauté, je la trouvais presque fausse. Des "blagues" sorties d'on ne sait où et qui n'on aucun sens que seuls d'autres de ses amis chelous comprennent. Ce rire extrêmement aigü qui te file un petit blocage quand tu l'entends, car tu te demandes si un animal vient de rentrer dans la pièce où non.
Encore une fois, là n'est pas le but de l'article, je m'égare...
La dernière fois que je suis allée chez eux, c'était pour le nouvel an. Encore une fois, on a longtemps hésité avant d'accepter d'aller là-bas parce qu'on sentait que ça allait être fade.... Comme le réveillon qu'on a fait là-bas il y a 2 ans. D'un ennui ! Cette année, je voulais vraiment qu'ils se bougent le cul, qu'ils arrêtent d'aller se coucher à 1h du matin comme ils le font à chaque fois et qu'on profite les uns des autres pour fêter cette nouvelle année. Visiblement, j'aurais du m'abstenir de cet enthousiasme car je n'ai pas réussi à le contenir. Quand les gens ont voulu aller se coucher, j'étais tellement déçue que j'ai commencé à avoir un comportement exécrable. A dire que tout le monde était chiant à en mourir de vouloir se coucher si tôt et que c'était triste à leur âge de ne pas tenir plus longtemps. J'ai donc fini ma soirée dehors avec un pote puisqu'on ne pouvait plus faire de bruit à l'intérieur. Clairement, j'ai abusé de l'alcool et ça n'est pas la première fois que ça m'arrive. Quand j'en abuse, j'ai un besoin désespéré d'attention. Et c'est insupportable. Alors oui, la solution, c'est de se calmer sur l'alcool, j'en ai bien conscience. Mais encore faut-il que j'en prenne conscience quand je suis en excédent d'enthousiasme. Je perds visiblement toute raison quand je veux trop "m'amuser". Je veux toujours être la dernière à aller me coucher, je veux toujours être là à toutes les soirées pour être sûre de ne rien louper.
Donc ma première étape a été de ne pas sortir avec mes potes vendredi soir (wow.). J'ai fait une soirée tranquille avec une copine où l'on a un peu bu et quand elle est partie, j'avais extrêmement envie de les rejoindre car ils sortaient d'un concert.
Article non fini...
J'espère que ça aboutira à quelque chose.
Je me suis (enfin) faite larguer. Après tant d'années à se déchirer et s'aimer, il était temps que ça s'arrête.
Au moins pour pouvoir s'interroger sur nos caractères respectifs.
Il est clair qu'il y a un gros travail à faire. Je ne supporte pas qu'on me dise quoi faire et c'est exactement ce qu'il faisait en soirée. Sans doute pour montrer à nos amis qui portait la culotte dans notre couple. Du coup, on s'engueulait presque systématiquement devant eux. Lui parce qu'il m'emmerdait à me contredire sans arrêt, moi parce que je n'avais pas envie de me laisser marcher dessus. Et ça m'agaçait de plus en plus à chaque fois. J'avais fini par me dire qu'en fermant simplement ma gueule quand ça arriverait, ça règlerait le problème. Sauf que ça l'énervait encore plus que je ne réponde pas à ses provocations et que je change de conversation. Du coup, quoi faire ? Se remettre en question. Ca fait quelque temps que je réfléchis pas mal dans mon coin, que je fais de l'introspection pour trouver une solution à tout ça. Sauf que quand on fait un travail de couple tout seul, il y a peu de chances que ça fonctionne. Jamais de la vie il n'allait remettre en cause son caractère ou sa façon de se comporter, c'était forcément moi le problème.
Du coup, il a fini par me larguer parce que "je le soûlais".
Ce qu'il n'a pas l'air de comprendre, c'est qu'il m'a larguée parce qu'ON SE soûlait. J'ai soit disant des avis trop tranchés.
Des avis en fait.
Visiblement, il ne faut pas dire "j'ai trouvé ça nul" mais "ça n'est pas à mon goût". Je n'étais pas au courant que j'étais critique dans un grand journal et qu'il fallait que je ménage mes propos quand j'émettais un avis. Et ce n'est pas même pas par rapport à l'opinion d'un ami ou d'un truc vraiment important. Pour le coup, le soir de la rupture, c'était au sujet d'une pièce de théâtre où je trouvais le temps particulièrement long parce que la moitié de la troupe d'acteurs jouaient comme des pieds.
Bon bref, pas la peine d'épiloguer 107 ans là dessus, ça n'était pas le but de mon article.
Le but, c'était justement de pouvoir coucher sur le "papier" mon ressenti et m'autoriser une nouvelle introspection.
Une "amie" a rompu avec moi ce soir. Ca doit bien faire 4 ans que je ne la vois plus vraiment parce qu'à chaque fois qu'on les invitait, elle et son copain, ils trouvaient toujours une excuse pour ne pas venir. Et qu'à chaque fois qu'on était invité chez eux, j'y allais à reculons parce que j'étais quasiment sûre qu'on allait se faire chier, que l'ambiance allait être plus qu'étrange et que leur baraque me fout les boules. Ce genre de maison énorme où vivent deux gros bordéliques. Le ménage est rarement fait, tu découvres toujours des trucs chelous cachés sous les meubles et l'air imprégné de l'odeur du chien mouillé est difficilement respirable. Enfin bon, cette fameuse "amie", je l'ai toujours trouvée bizarre. J'étais contente quand on était toutes les deux et qu'on discutait, mais dès qu'on était en communauté, je la trouvais presque fausse. Des "blagues" sorties d'on ne sait où et qui n'on aucun sens que seuls d'autres de ses amis chelous comprennent. Ce rire extrêmement aigü qui te file un petit blocage quand tu l'entends, car tu te demandes si un animal vient de rentrer dans la pièce où non.
Encore une fois, là n'est pas le but de l'article, je m'égare...
La dernière fois que je suis allée chez eux, c'était pour le nouvel an. Encore une fois, on a longtemps hésité avant d'accepter d'aller là-bas parce qu'on sentait que ça allait être fade.... Comme le réveillon qu'on a fait là-bas il y a 2 ans. D'un ennui ! Cette année, je voulais vraiment qu'ils se bougent le cul, qu'ils arrêtent d'aller se coucher à 1h du matin comme ils le font à chaque fois et qu'on profite les uns des autres pour fêter cette nouvelle année. Visiblement, j'aurais du m'abstenir de cet enthousiasme car je n'ai pas réussi à le contenir. Quand les gens ont voulu aller se coucher, j'étais tellement déçue que j'ai commencé à avoir un comportement exécrable. A dire que tout le monde était chiant à en mourir de vouloir se coucher si tôt et que c'était triste à leur âge de ne pas tenir plus longtemps. J'ai donc fini ma soirée dehors avec un pote puisqu'on ne pouvait plus faire de bruit à l'intérieur. Clairement, j'ai abusé de l'alcool et ça n'est pas la première fois que ça m'arrive. Quand j'en abuse, j'ai un besoin désespéré d'attention. Et c'est insupportable. Alors oui, la solution, c'est de se calmer sur l'alcool, j'en ai bien conscience. Mais encore faut-il que j'en prenne conscience quand je suis en excédent d'enthousiasme. Je perds visiblement toute raison quand je veux trop "m'amuser". Je veux toujours être la dernière à aller me coucher, je veux toujours être là à toutes les soirées pour être sûre de ne rien louper.
Donc ma première étape a été de ne pas sortir avec mes potes vendredi soir (wow.). J'ai fait une soirée tranquille avec une copine où l'on a un peu bu et quand elle est partie, j'avais extrêmement envie de les rejoindre car ils sortaient d'un concert.
Article non fini...