L'Amour..
Il y a ceux qui en parlent
Et ceux qui le font.
Après quoi, il m'apparaît urgent de me taire.
Pierre Desproges.
[ Mis à part l'amour en lui-même, s'il y a bien un moment que je savoure, c'est l'après. Ces quelques minutes où l'on se serre fort comme pour se dire Merci. Merci de m'avoir donné ce que tu m'as donné. Merci d'avoir voulu de moi et de mon corps. Merci d''être là pour moi. Merci de ne pas m'abandonner. Ce moment où l'on observe chaque détails, chaque traits du visage de l'autre. Où l'on avance doucement ses lèvres pour croquer calmement celles de l'autre. Où l'on adresse le regard le plus tendre que nous puissions donner à celui qui nous fait face. Je t'aime, je t'aime, je t'aime. Je ne veux que toi. Tu me rends heureuse. Ce moment où les corps sont encore nus et peuvent se frôler avec une sensualité jamais connue. On se touche du bout des doigts, par peur de briser ce qu'on a pu vivre, par peur de casser ce qui nous a rendus heureux. Les ongles griffent tendrement la peau, les doigts s'entremêlent, les pieds se collent. "On se lie, et tu me serres fort."
On cherche nos vêtements au hasard. Ceux jetés précipitamment à terre quelques temps avant. Moment bientôt achevé, encore quelques minutes à savourer. Puis, fini. Plus rien. ]
[ Mis à part l'amour en lui-même, s'il y a bien un moment que je savoure, c'est l'après. Ces quelques minutes où l'on se serre fort comme pour se dire Merci. Merci de m'avoir donné ce que tu m'as donné. Merci d'avoir voulu de moi et de mon corps. Merci d''être là pour moi. Merci de ne pas m'abandonner. Ce moment où l'on observe chaque détails, chaque traits du visage de l'autre. Où l'on avance doucement ses lèvres pour croquer calmement celles de l'autre. Où l'on adresse le regard le plus tendre que nous puissions donner à celui qui nous fait face. Je t'aime, je t'aime, je t'aime. Je ne veux que toi. Tu me rends heureuse. Ce moment où les corps sont encore nus et peuvent se frôler avec une sensualité jamais connue. On se touche du bout des doigts, par peur de briser ce qu'on a pu vivre, par peur de casser ce qui nous a rendus heureux. Les ongles griffent tendrement la peau, les doigts s'entremêlent, les pieds se collent. "On se lie, et tu me serres fort."
On cherche nos vêtements au hasard. Ceux jetés précipitamment à terre quelques temps avant. Moment bientôt achevé, encore quelques minutes à savourer. Puis, fini. Plus rien. ]
L'après est plein de tendresse, de douceur, de sensualité et de beauté, mais je suis toujours trop fatiguée pour l'apprécier.
Et congratulation for your citation de Desprogeounet.